J’étais dressé sur mes pattes arrières avec mes 2 pattes avant en offrande au niveau des seins et la langue tirée.

Très vite je commençai à avoir mal aux genoux, je fis un « Wouaff » et mon Maître me rejoingna presque aussitôt.

« Qu’il y a-t-il médor ? »

« Wouaff  Wouaff »

« C’est bien tu fais le bon chien mais si tu as envie de vraiment devenir mon médor attitré il va falloir dépasser tes limites ».

Déjà ? Pensais-je dans mon fort intérieur. Mais quelles limites ? Que devrais-je faire de plus ?

« Un jour viendra où tu boiras ma pisse ! Mais pour ce soir je vais me satisfaire en te pissant dans les mains, ceci juste pour te baptiser. Suis-moi mon chien !».

« Wouu..aff » (ce n’était pas du tout prévu  … mais avais-je le choix ?)

Dans la salle de bains, il me fit entrer dans la baignoire et reprendre ma position de bon chien en tendant mes 2 mains rejointes.

Je n’avais encore jamais touché, ni lécher son sexe et voilà qu’il me baptisait son médor. Son chien qui accepte tout pour lui.

« Sers fort tes mains pour qu’aucune goutte ne puisse dégouliner. Je vais venir, je veux voir ta langue bien tirée ! »

« Wouaff ». Son jus jaune foncé et très odorant vint remplir mes mains…. Ca ne coulait pas entre, mais ça débordait de mes mains … il m’a pissé dessus au moins un litre … je pense qu’il avait dû se retenir en pensant à ce moment. Le surplus que mes mains ne pouvaient acceuillir goutait dans la baignoire.

« Bravo, tu es un bon chien médor. Continue de serrer fort tes mains. Profites-en pour renifler l’odeur de ma pisse pour t’habituer en douceur . Je reviens dans un instant.»

« Wouaff » « Wouaff ». Je suis resté comme cela durant 5 minutes, effectivement j’ai pu bien m’habituer à son odeur.
Ensuite Maitre Pacha me tira par le cou jusqu'au pied de son lit. Il m'attacha là en me laissant son odeur d'urine s'imprégner de mes mains et dormir dans une sorte de panier assez doux.
Au petit matin, mon nouveau Maitre me détacha et m'ordonna d'aller l'attendre à 4 pattes dans la baingnoire de sa salle de bain.
Trop pressé de lui obéir, j'ai oublié ma posture de chien et de le remercier par "Wouaff", mal m'en a pris, il me rappela à l'ordre en m'ordonant d'aller chercher un slip dans sa corbeille de linge sale. Je n'avais le droit qu'à ma geule pour renifler et trouver un slip porté par mon Maitre. 
Je revins vers lui et me présenta, les 2 pattes avant levée avec son slip dans la bouche.
« Je vais t'aprendre les bonnes manières médor! »
« Wouuufff »
« Mets toi en position et execute 20 pompes avec mon slip dans la geule ! »
A peine, avais-je commencer que mon Maitre compta d'un ton très sec à mesure que je faisais mes pompes. Tous les 2 à 3 coups, il m'encouragait en me fouettant avec une sorte de martinet qui avait de longue lanières en cuir.
« C'est bien. Maintenant remets se slibard àsa place et rends toi à la salle de bain, nous avons assez perdu de temps! »
« Wouafff » (heureux d'avoir enfin pu satisfaire mon Maitre)
Je l'attendais à 4 pattes dans la baignoire me réjouissant de recevoir une petite douche.
En fait, mon Maitre m'administra un lavement avec un récipient fixé au support de la douche. Puis il  boucha mon anus avec un plug en me demandant de retenir le liquide.
«Tu me semble être un bon chien. Maintenant médor je vais baptiser ton corps en te pissant dessus, cambre toi bien et relève la tête qui sera épargnée pour cette fois !». 
« Wouafff . Wouafff »
Et il me repisse dessus, je ne sais pas ce qu'il avait pu boire avant ou la veille mais cela a duré au moins 2 minutes où il m'a arrosé comme un pot de fleur.
Mmhmhm totalement humilié avec mon lavement qui m'immobilisait en position de levrette.
Que je l'aime ce Maitre ! En moins de 24h, il avait déjà testé et repoussé presque toutes mes limites.
En quittant la salle de bain Maitre m'ordonna d'évacuer tout cela et de prendre une bonne douche.
A ma sortie, je fus pluggé et Maitre m'ordonna de m'habiller pour aller faire ses courses. Il me fit une liste et dû m'empresser de lui rapporter le tout. 
A mon arrivée, il s'installa à une grande table ou son petit déjeuner et m'ordonna de monter la garde durant la lecture de son journal. Pour lui monter la garder signifiait tourner autour de la table en marchant à 4 pattes tout en reniflant les odeurs alentours.
« Wouafff »