Arrivé à destination je commençais à avoir la tête qui tournait un peu. J'avais voulu faire le "grand" en acceptant et en vidant un peu rapidement les verres qui m'avaient été proposés. Je gardais la tête haute et suivis mes "compagnons". Il fallait encore prendre un car postal pour enfin arriver au départ de notre marche d'approche.
Durant la demi-heure de route parsemée d'étroits contours, Frank, le troisième larron, avait pris place à mes côtés sur le siège côté couloir. Il en profita pour passer sa main sous mon caleçon afin de me palper durant tout le voyage. Il se touchait avec son autre main et me faisait sentir ses doigts juste après, ça me faisait tout bizarre, son odeur était très différente de celle de Gabriel que j'avais pu sentir auparavant. Il faisait chaud. Franck était un peu rouquin/blondinet, l'odeur de son sexe à la fois forte et suave m'enivrait. Sur le moment, c'était bizarre mais c'est devenu trés excitant chaque fois que j'y ai repensé au fil du temps.
Coups de frein sec, enfin arrivé. Nous devions effectuer une petite marche d'une heure pour se rendre en-bas d'une paroi pour les grimpeurs débutants. En fin d'après-midi, nous devions rejoindre le chalet de Jean-Claude pour y passer la nuit.
Durant la marche, Gabriel me saisit par l'épaule et me glissa un "Suis-moi !" auquel je ne pu que acquiescer.
Nous nous écartions quelque peu du chemin balisé et Gabriel me rappela qu'il avait payé pour se faire branler tout le week-end en vertu de quoi lorsqu'il aurait envie de pisser, je devrais lui tenir la bite!
Avec son autorité naturelle, je n'ai même pas pensé à le contredire. Il stoppa, "Viens ma petite pute! Mannes-toi de défaire ma ceinture et de sortir ma queue, j'ai envie de pisser!". Je m'empresse de défaire sa braguette et sors son braquemard qu'à moitié mou, me place de côté et lui commence à pisser comme ça. Il me demandait si j'aimais ça et je lui répondis un truc comme: "J'aime bien toucher votre pénis mais la pisse... beurrrk c'est dégeulasse!".
Il m'a répondu que j'étais sa petite pute et que si j'aimais pas je ne devais pas rechigner et juste fermer ma gueule. Lui il paie, moi je ferme ma gueule!
On rattrapa les autres et la partie de grimpe fût prétexte à de nombreuses touchettes et frottements.
Le soir venu, après avoir fait du feu pour réchauffer le chalet, ils me proposèrent à nouveau de boire un petit apéritif en leur compagnie. Dans la conversation, Jean-Claude me demanda si j'avais aimé sentir l'odeur des bites de ses amis. Je fus un peu confus pour répondre à une telle question, car en effet, si différentes soient-elles j'avais bien aimé cette expérience. Je répondis de manière évasive et il me proposa un jeu, ni plus ni moins que de me bander les yeux pour tenter de reconnaitre avec mon "nez" leurs 3 paires de couilles. Cela me semblait réalisable et pas trop hard, alors j'ai accepté.
Gabriel se réjouissait, il me traita pour la première fois de bonne petite pute devant ses potes ce qui ne les a pas du tout surpris. Il m'ordanna de venir les déshabiller et de leur laisser juste leurs slips avant de pouvoir commencer le jeux. Un à un ils se laissaient faire en me lançant des "Vas-y c'est bien", "Vas-y ça t'excite de faire la pute pour nous 3 hein ?" ...
Jean-Claude sorti un Polaroïd et me dit qu'il en profiterait pour faire quelques photos pour se remémoré cette soirée et pouvoir se branler lorsque j'étais indisponible. L'alcool m'avait fait relâcher ma garde et j'ai obtempéré sans mots dire.