soumixxx

Un jour Jean-Claude est venu m’attendre à la sortie des cours. Il m’a demandé de le suivre en me soufflant que je ne le regretterais pas.

Je l’ai suivi jusqu’à un sous-bois qui était proche de ma maison. Nous primes un petit sentier que seul quelques promeneurs de chiens utilisaient et dès que nous fûmes hors de vision des éventuels passants, il se plaça derrière moi en me demandant de surveiller si quelqu’un arrivait. Il m’entoura de ses deux mains pour venir palper mon sexe en passant par-dessous mon short et me posa des questions humiliantes sur ma queue toute grossie.

Il garda sa main droite sur ma bite et déboutonna son pantalon avec sa main gauche et commenca à nous branler simultanément.

Après quelques minutes, de ses agréables caresse, quelqu’un qui arrivait nous interrompa et nous dûmes discrètement nous rhabiller.

On changea d’endroits, pour se retrouver au dernier étage des escaliers de secours d’un centre commercial. Nous reprimes nos positions, et après quelques instants, il me demanda de m’agenouiller pour  renifler sa queue et la lui lécher. Je m’empressais de satisfaire son autorité et me mis le lécher et à jouer avec ses boules dans ma bouche.

Pendant que je m’attelai à lui faire plaisir, il sorti son Polaroïd et pris quelques clichés de la scène.

D’une de ses mains, il me pris par les cheveux tandis qu’il continuait à prendre des photos, il me forca à le branler avec mes lèvres et ma bouche. Il accéléra le mouvement jusqu’à jouir dans ma bouche. A peine eu-t-il fini de prendre son pied, qu’il me dit que j’étais la meilleure pûte qu’il n’avais jamais rencontré. Il me glissa un billet de 50.- et me demanda si j’avais encore un peu de temps pour me présenter à un de ses amis.

Par excitation ? par cupidité ? un peu des deux ? Quoiqu’il en soit, je l’ai suivi en prenant le risque d’arriver en retard à la maison.

Sur le trajet, il me dit qu’il avait montré mes photos un de ses potes et que celui-ci serait aussi intéressé à profiter de mes services, pour ne pas me brusquer il me dit que le type nous attendait pour boire un pot et que, bien-sûr, je pourrai dire non à tout moment.

Comme ces photos auraient dû rester confidentielles, j’étais très géné.

Arrivé au bar qui était en fait juste derrière le centre commercial le patron avait l’air de connaitre JC et nous fit signe de le suivre en cuisine.

Mer 28 oct 2009 Aucun commentaire